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Henri Feur Vitraux 1879-1904
Lot-et-Garonne, Tarn-et-Garonne, Lot, Dordogne
Par Stéphane Ternoise
Né en 1837 à Bordeaux, où il succéda à Joseph Villiet en 1877, après avoir été son élève à partir de 1852 puis principal collaborateur, Henri Feur transmettra l’atelier à son fils en 1908. Le dernier âge d’or du vitrail était achevé.
Ces oeuvres, la République en préserve une partie, celles de "Monuments à valeur ajoutée touristique", le reste semble condamné à se dégrader dans l’indifférence, et l’invisibilité des églises fermées…
La chrétienté officielle accepte ce mépris par la "laïcité", nom derrière lequel la République matérialiste sans âme ni esprit, juste des corps activés par des désirs, impose son mépris de toute spiritualité.
Ces vitraux témoignent d’un travail minutieux et d’une autre époque, d’une autre conception de la vie.
Huit églises en Lot-et-Garonne, Monflanquin 1879, Fumel 1881 et 82, Aiguillon 1883, Laroque-Timbaut 1884, Tonneins 1885, 86, 94 puis notre conclusion 1904, Villeréal 1887, Libos 1889 et 97, Prayssas 1891.
Quatre dans le Lot, Figeac 1883, Mercuès 1888, Sérignac 1890, Soturac 1892.
Quatre en Tarn-et-Garonne, sur deux communes, Saint Nauphary en 1893 et Montaigu-de-Quercy, paroisse de Sainte Cécile et centre historique en 1892, Goûts en 1895.
Deux en Dordogne, Molières 1882, Saint-Martial-de-Nabirat 1888 et 89.
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